Une fête païenne au départ
Les origines de la Saint-Valentin remontent à l’Antiquité. Les Dieux de la fécondité étaient célébrés autant dans la Grèce Antique que par l’Empire romain. Dans ce dernier cas, la fête se tenait autour du 15 février et s’appelait Les Lupercales et, bien entendu, vénérait la fécondité.
Selon une légende de cette époque, cette fête concernait plutôt les célibataires que les couples. Le jour venu, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leur village et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent. À l’issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l’année. Ceci permettait de développer la démographie et… stimuler l’expansion des villages.
Les origines de la Saint-Valentin
La fête aurait ensuite été assimilée par l’Église catholique romaine pour contrecarrer les pratiques bambocheuses des Lupercales. Donc plus de rectitude et de sérieux au cours de l’évènement. C’est alors que l’un des trois Saint-Valentin (à vous de choisir) devient le saint patron des amoureux, puis la fête évolue graduellement jusqu’à ce que nous en connaissons maintenant.
La fête de tous les amoureux
Aujourd’hui, les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour, ainsi que des roses rouges, emblème de la passion.
Se rattachant à l’image du Valentin, il y a bien entendu le symbole du cœur, considéré depuis la préhistoire comme le centre de l’activité émotionnelle et spirituelle. Un cœur rouge est particulièrement symbole de l’amour. Il est parfois traversé d’une flèche, illustrant l’intervention d’Éros.
Ici un exemple de pendentif en forme de cœur